Prêcheur, l’ancien directeur de Clairefontaine, dit qu’en apprenant que San José travaillait à Valence, il a contacté les Responsables du Club for the informant de ce qui sééit passé dans son center. Valence a fini par renvoyer San José, more than just interactions with the Jeunes Joueurs; il a été licencié après que le club a découvert qu’il travaillait avec un agent pour présenter ses joueurs à d’autres équipes. “Comme j’avais déjà des doutes, je n’ai pas hésité and je l’ai viré pour faute grave”, dit Vivant.
Tout d’abord, la mère d’un jeune joueur, inquiète, a contacté le trésorier du club pour quoi il était nécessaire que les joueurs soient nus lorsqu’on pesait. D’autres Alarms ont Retenti Quand Les Responsibles Du Club Ont Appris Qu’un Jeune Joueur Avait Passé La Nuit Chez San José.
Prêcheur, l’ancien directeur de Clairefontaine, dit qu’en apprenant que San José travaillait à Valence, il a contacté les Responsables de l’équipe pour leur dire ce qui séit passé dans son académie. Valence a finalement renvoyé San José, more than just interactions with the Jeunes Joueurs; il a été licencié après que le club a découvert qu’il travaillait avec un agent pour présenter ses joueurs à d’autres équipes. “Comme j’avais déjà des doutes, je n’ai pas hésité et je l’ai renvoyé”, a déclaré vivant.
San José est cependant demeuré dans la région, travaillant dans les écoles et, plus récemment, au sein d’une autre équipe amateur, le F.C. Rhône-Vallées. Vivant et Prêcheur Affirment avoir tous deux mis en garde le club contre l’embauche de San José et parlé à ses responsible for the incident qui sétaient products à Clairefontaine puis à Valence.
The president of the club, Yann Jacquier, explains how the redress for the San José jurisprudence is at ‘histoire’. San José, dit-il, lui assurait que l’échange de news affektueux avec le garçon de Clairefontaine n’était qu’un va-et-vient amical.
San José a également convinced the Mére du Garçon d’écrire une lettre au F.C. Rhône-Vallées pour leur confirmer qu’il n’avait jamais eu de contact physique avec son fils. Elle l’a fait en juillet.
“On a Reçu une lettre de la maman nous disant qu’il n’y a pas eu d’agression physique sur son fils, mais c’est tout”, dit Jacquier. “Je n’ai jamais été au courant des SMS, jamais. J’ai été trompé. Il m’a menti, il nous a menti and je suis responsible. Je ressens de la honte.”